Lettre d'un pauvre con inquiet SARKO
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Lettre d'un pauvre con inquiet SARKO
Lettre d'un pauvre con inquiet à M. le Président de la République
Décidément, je ne peux pas vous laisser seul cinq minutes sans que vous fassiez une… Cette fois-ci, c'est au Salon de l'Agriculture, là où ça sent mauvais, et où y'a des bouseux déguisés en Jacquou le croquant. Vous approchant d'un petit vieux qui ne vous demandait rien, vous vous êtes mis en tête de le palper, comme vous le feriez avec le cul d'une vache. Réaction du papy : "Me touche pas !". On a vu alors vos yeux ribouler, votre bouche se crisper, avant de lâcher cette phrase qui vous suivra longtemps après votre règne : "Casse-toi, pauvre con !"
En voyant les images, j'ai éprouvé une peine immense. Pour le grabataire, d'abord, qui si ça se trouve est bardé de diplômes et en sait plus que vous en physique quantique, et donc n'est pas forcément un con, qu'en savez-vous ? Et surtout pour vous qui une fois de plus, vous êtes abandonné. "Pauvre con"… Comment doit-on traduite en langage normal : crétin du peuple sans le sou qui ne me mérite pas ? Manifestement, le mot vous plaît. Vous l'aviez déjà employé la nuit du Fouquet's à l'égard de la présidente du Medef, puis envers votre féal Martinon-non. Mais ceux-là après tout se sont mis carpette pour vous plaire, et ils ont reçu la monnaie de leur pièce.
Le con du Salon est d'un autre métal. Il ne s'agissait que d'un Français lambda, que vous êtes sensé représenter, un visiteur qui avait acheté son ticket, dont on ne sait rien, sinon qu'il n'avait pas envie d'être papouillé par vous. On ne saurait le lui reprocher. Où sont votre détachement, votre sens de l'humour, votre hauteur de vue qui doivent imprégner votre fonction ? Vous nous faites regretter votre prédécesseur qui lorsqu'on le traitait en public de connard, répondait : "Enchanté, moi, c'est Jacques Chirac."
Comment allez-vous justifier dorénavant que dans les écoles, on enseigne les notions qu'officiellement vous prônez ? Le respect de l'autre, la morale, le savoir vivre. A propos de savoir vivre, les images, toujours ces putains d'images, vous montraient l'autre jour dans une salle de classe, faisant mine d'écouter une institutrice. Vous aviez l'air, comme d'habitude, de vous emmerder ; pire vous aviez les mains dans les poches. Tu parles d'un respect… D'un autre côté, ça aurait pu être pire, au moins vous n'envoyiez pas des SMS, comme dans un pays du Golfe, devant le Souverain local médusé.
M. le Président, vous êtes un mal élevé et vous vous comportez comme un sale gosse pourri de fric. L'habit que vous avez revêtu l'année dernière est manifestement taillé trop grand pour vous. D'aucuns mettent même en doute vos facultés mentales, à partir de votre comportement : vos tics polymorphes, vos mouvements d'épaule, vos crispations faciales, votre visage sans cesse en sueur, votre regard fuyant, votre excitation de tous les instants. Si l'on ajoute votre insolence, votre perte de sang froid, et votre mégalomanie bling blingienne, que conclure ? Vous présentez tous les symptômes du cocaïnomane ; et Dieu sait que vous ne l'êtes pas. Mais votre attitude commence à être davantage du ressort des toubibs que des politiques.
Je vais trop loin, allez-vous me répondre. Le malheur veut que je ne sois pas le seul à le croire. Ce week end, le quotidien espagnol El Pais a osé titrer "Sarkozy, ce grand malade". Comment ne pas penser aux syndromes décrits dans le film "Le fou de guerre" où Coluche jouait le rôle d'un chef d'Etat devenu psychopathe ? Comment ne pas penser aux propos du philosophe Michel Onfray, que vous aviez rencontré peu avant votre élection, et qui vous avait décrit comme un splendide cas psychiatrique ? "Il ne fait pas président ; il a un vrai problème de comportement", disait votre ancienne femme à votre propos. Elle vous a quitté, comme sont en train de le faire en masse les Français. Pauvre France, il ne lui manquait plus que ça. Veuillez croire, M. le Président, en l'assurance des sentiments attristés d'un pauvre con. Un de plus.
Par Dominique Padovani
Décidément, je ne peux pas vous laisser seul cinq minutes sans que vous fassiez une… Cette fois-ci, c'est au Salon de l'Agriculture, là où ça sent mauvais, et où y'a des bouseux déguisés en Jacquou le croquant. Vous approchant d'un petit vieux qui ne vous demandait rien, vous vous êtes mis en tête de le palper, comme vous le feriez avec le cul d'une vache. Réaction du papy : "Me touche pas !". On a vu alors vos yeux ribouler, votre bouche se crisper, avant de lâcher cette phrase qui vous suivra longtemps après votre règne : "Casse-toi, pauvre con !"
En voyant les images, j'ai éprouvé une peine immense. Pour le grabataire, d'abord, qui si ça se trouve est bardé de diplômes et en sait plus que vous en physique quantique, et donc n'est pas forcément un con, qu'en savez-vous ? Et surtout pour vous qui une fois de plus, vous êtes abandonné. "Pauvre con"… Comment doit-on traduite en langage normal : crétin du peuple sans le sou qui ne me mérite pas ? Manifestement, le mot vous plaît. Vous l'aviez déjà employé la nuit du Fouquet's à l'égard de la présidente du Medef, puis envers votre féal Martinon-non. Mais ceux-là après tout se sont mis carpette pour vous plaire, et ils ont reçu la monnaie de leur pièce.
Le con du Salon est d'un autre métal. Il ne s'agissait que d'un Français lambda, que vous êtes sensé représenter, un visiteur qui avait acheté son ticket, dont on ne sait rien, sinon qu'il n'avait pas envie d'être papouillé par vous. On ne saurait le lui reprocher. Où sont votre détachement, votre sens de l'humour, votre hauteur de vue qui doivent imprégner votre fonction ? Vous nous faites regretter votre prédécesseur qui lorsqu'on le traitait en public de connard, répondait : "Enchanté, moi, c'est Jacques Chirac."
Comment allez-vous justifier dorénavant que dans les écoles, on enseigne les notions qu'officiellement vous prônez ? Le respect de l'autre, la morale, le savoir vivre. A propos de savoir vivre, les images, toujours ces putains d'images, vous montraient l'autre jour dans une salle de classe, faisant mine d'écouter une institutrice. Vous aviez l'air, comme d'habitude, de vous emmerder ; pire vous aviez les mains dans les poches. Tu parles d'un respect… D'un autre côté, ça aurait pu être pire, au moins vous n'envoyiez pas des SMS, comme dans un pays du Golfe, devant le Souverain local médusé.
M. le Président, vous êtes un mal élevé et vous vous comportez comme un sale gosse pourri de fric. L'habit que vous avez revêtu l'année dernière est manifestement taillé trop grand pour vous. D'aucuns mettent même en doute vos facultés mentales, à partir de votre comportement : vos tics polymorphes, vos mouvements d'épaule, vos crispations faciales, votre visage sans cesse en sueur, votre regard fuyant, votre excitation de tous les instants. Si l'on ajoute votre insolence, votre perte de sang froid, et votre mégalomanie bling blingienne, que conclure ? Vous présentez tous les symptômes du cocaïnomane ; et Dieu sait que vous ne l'êtes pas. Mais votre attitude commence à être davantage du ressort des toubibs que des politiques.
Je vais trop loin, allez-vous me répondre. Le malheur veut que je ne sois pas le seul à le croire. Ce week end, le quotidien espagnol El Pais a osé titrer "Sarkozy, ce grand malade". Comment ne pas penser aux syndromes décrits dans le film "Le fou de guerre" où Coluche jouait le rôle d'un chef d'Etat devenu psychopathe ? Comment ne pas penser aux propos du philosophe Michel Onfray, que vous aviez rencontré peu avant votre élection, et qui vous avait décrit comme un splendide cas psychiatrique ? "Il ne fait pas président ; il a un vrai problème de comportement", disait votre ancienne femme à votre propos. Elle vous a quitté, comme sont en train de le faire en masse les Français. Pauvre France, il ne lui manquait plus que ça. Veuillez croire, M. le Président, en l'assurance des sentiments attristés d'un pauvre con. Un de plus.
Par Dominique Padovani
patrice- Langue pendue
- Nombre de messages : 116
Date d'inscription : 13/11/2004
Re: Lettre d'un pauvre con inquiet SARKO
Lorsque rendant visite à des marins-pêcheurs en colère, le PDLR, alors que l'un d'eux situé sur une position élevé l'avait interpellé, lui dit : descend etc, on ne peut que considérer qu'il galvaude gravement la fonction présidentielle, ainsi que l'attente qu'on est en droit d'attendre du titulaire provisoire de ce poste symboliquement prestigieux.
Non seulement par cette injonction utilisant le tutoiement, mais surtout car on devrait normalement plutôt attendre du PDLR qu'il élève les français. Non qu'il leur demande l'inverse.
En conclusion, après, dans le but d'un peu se grandir, s'être assis sur le résultat du référendum sur la Constitution européenne initié par son prédécesseur. Rejeté avec dédain d'un simple revers de Parlement.
Il ne faut très certainement rien attendre du récent revers électoral de ce clan associé au Medef. Qui, quoiqu'on en dise, a quand même réussi à sauvegarder Neuilly.
Le Neuilly-sur-Seine que j'avais connu lors de vacances estivales chez ma tante et qui était devenu lors des récentes élections: Neuilly-sur-Scène.
Tragique diront ou penseront certains.
Les spécialistes renchérissant: tragédie grecque.
Evident, conclueront les plus informés. Puisque la famille maternelle du -metteur en Seine - était originaire de Salonique.
PS: pour avoir dîné hier chez des amis italiens. Les médias transalpins annoncent la grossesse de la nouvelle épouse du PDLR.
A ce propos, ne comptez pas sur moi pour faire un jeu de mot facile, bien que reflétant parfaitement la réalité, sur ces informations.
Surtout qu'en cette occurence je n'ai été l'objet d'aucune infortune électorale.
Non seulement par cette injonction utilisant le tutoiement, mais surtout car on devrait normalement plutôt attendre du PDLR qu'il élève les français. Non qu'il leur demande l'inverse.
En conclusion, après, dans le but d'un peu se grandir, s'être assis sur le résultat du référendum sur la Constitution européenne initié par son prédécesseur. Rejeté avec dédain d'un simple revers de Parlement.
Il ne faut très certainement rien attendre du récent revers électoral de ce clan associé au Medef. Qui, quoiqu'on en dise, a quand même réussi à sauvegarder Neuilly.
Le Neuilly-sur-Seine que j'avais connu lors de vacances estivales chez ma tante et qui était devenu lors des récentes élections: Neuilly-sur-Scène.
Tragique diront ou penseront certains.
Les spécialistes renchérissant: tragédie grecque.
Evident, conclueront les plus informés. Puisque la famille maternelle du -metteur en Seine - était originaire de Salonique.
PS: pour avoir dîné hier chez des amis italiens. Les médias transalpins annoncent la grossesse de la nouvelle épouse du PDLR.
A ce propos, ne comptez pas sur moi pour faire un jeu de mot facile, bien que reflétant parfaitement la réalité, sur ces informations.
Surtout qu'en cette occurence je n'ai été l'objet d'aucune infortune électorale.
ajr- Langue pendue
- Nombre de messages : 711
Date d'inscription : 18/02/2005
Re: Lettre d'un pauvre con inquiet SARKO
Bonjour,
Comme on pourrait penser que le premier paragraphe du message précédent a été l'objet d'une petite négligence à l'encontre du bon français, le verbe attendre étant utilisé successivement deux fois. Alors que dans le second cas le verbe espérer était plutôt de mise et aurait normalement dû s'imposer.
Mais, aurait-il été de circonstance ?
Et qui néglige le plus le bon français ?
Surtout, ne descendez pas. Essayez plutôt de monter !
Salut amical à tous.
Comme on pourrait penser que le premier paragraphe du message précédent a été l'objet d'une petite négligence à l'encontre du bon français, le verbe attendre étant utilisé successivement deux fois. Alors que dans le second cas le verbe espérer était plutôt de mise et aurait normalement dû s'imposer.
Mais, aurait-il été de circonstance ?
Et qui néglige le plus le bon français ?
Surtout, ne descendez pas. Essayez plutôt de monter !
Salut amical à tous.
ajr- Langue pendue
- Nombre de messages : 711
Date d'inscription : 18/02/2005
Re: Lettre d'un pauvre con inquiet SARKO
A la fois affligeant et hilarant quand on a malencontreusement eu à faire avec ce sinistre et amoral personnage.
Il doit nager comme un poisson dans l'eau avec la fine équipe qui nous gouverne...
Même pas la recconnaissance du ventre...ni du C..
Mdr
Pat
Il doit nager comme un poisson dans l'eau avec la fine équipe qui nous gouverne...
Même pas la recconnaissance du ventre...ni du C..
Mdr
Pat
patrice- Langue pendue
- Nombre de messages : 116
Date d'inscription : 13/11/2004
Re: Lettre d'un pauvre con inquiet SARKO
Ce serait une oeuvre de salubrité publique d'éclairer, et de mettre les projecteurs sur cet odieux personnage qui m'a personnellement menacé de mort. "W...zizi" ex chef caissier d'un établissement de jeu sur la "Côte d'Azur".
une espèce de "terroriste" pas musulman du tout, plutôt du genre aux moeurs dissolus et du genre lâche et odieux avec les faibles...
p..*****************************************
"Rocca, rouquina, Un jou vendra Que aqui non cantèra Plus ni gal ni galina".
une espèce de "terroriste" pas musulman du tout, plutôt du genre aux moeurs dissolus et du genre lâche et odieux avec les faibles...
p..*****************************************
"Rocca, rouquina, Un jou vendra Que aqui non cantèra Plus ni gal ni galina".
patrice- Langue pendue
- Nombre de messages : 116
Date d'inscription : 13/11/2004
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