les crans à serrer
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les crans à serrer
Fermeture de 63 conseils de prud'hommes :
le gouvernement affaiblit encore l'institution prud'homale
NewsPress 02.04.08 | 13h05
après les coupes claires réalisées dans la carte judiciaire des Tribunaux d'Instance et de Grande Instance, le gouvernement vient de confirmer son projet de fermeture de 63 conseils de prud'hommes sur 271.
La grande majorité des conseils municipaux, conseils généraux, syndicats, conseillers prud'hommes, chambres de commerce et d'industrie et autres organismes consultés depuis trois mois se sont prononcés contre ces projets et ont élaboré un ensemble impressionnant de mesures alternatives permettant d'améliorer l'efficacité de la justice du travail.
Malgré tout cela, le gouvernement maintient, à la virgule près, les orientations annoncées le 22 novembre dernier.
L'institution prud'homale est souvent le seul rempart contre l'arbitraire patronal.
Elle est aussi créatrice de jurisprudences favorables aux salariés.
Son rôle dans la suppression du CNE a été déterminant.
Elle est cependant affaiblie par un manque de moyens de plus en plus préoccupant et par la mise en cause des spécificités de sa procédure - débat oral, comparution personnelle des parties, audience de conciliation - qui en fondent l'efficacité et l'accessibilité.
La plupart des conseils menacés de fermeture ont des délais de jugement particulièrement courts et des taux d'appel très faibles. Les frais et pertes de temps que provoquerait leur suppression dissuaderaient nombre de salariés de faire valoir leurs droits.
Les plus démunis, ceux issus des secteurs et entreprises où le syndicalisme est le plus faible en seraient les premières victimes.
Le 10 avril, le Conseil supérieur de la Prud'homie est officiellement consulté sur les projets de réforme de la carte judiciaire ; nos représentants y seront porteurs des centaines d'avis critiques et des propositions constructives qui les accompagnent.
le gouvernement affaiblit encore l'institution prud'homale
NewsPress 02.04.08 | 13h05
après les coupes claires réalisées dans la carte judiciaire des Tribunaux d'Instance et de Grande Instance, le gouvernement vient de confirmer son projet de fermeture de 63 conseils de prud'hommes sur 271.
La grande majorité des conseils municipaux, conseils généraux, syndicats, conseillers prud'hommes, chambres de commerce et d'industrie et autres organismes consultés depuis trois mois se sont prononcés contre ces projets et ont élaboré un ensemble impressionnant de mesures alternatives permettant d'améliorer l'efficacité de la justice du travail.
Malgré tout cela, le gouvernement maintient, à la virgule près, les orientations annoncées le 22 novembre dernier.
L'institution prud'homale est souvent le seul rempart contre l'arbitraire patronal.
Elle est aussi créatrice de jurisprudences favorables aux salariés.
Son rôle dans la suppression du CNE a été déterminant.
Elle est cependant affaiblie par un manque de moyens de plus en plus préoccupant et par la mise en cause des spécificités de sa procédure - débat oral, comparution personnelle des parties, audience de conciliation - qui en fondent l'efficacité et l'accessibilité.
La plupart des conseils menacés de fermeture ont des délais de jugement particulièrement courts et des taux d'appel très faibles. Les frais et pertes de temps que provoquerait leur suppression dissuaderaient nombre de salariés de faire valoir leurs droits.
Les plus démunis, ceux issus des secteurs et entreprises où le syndicalisme est le plus faible en seraient les premières victimes.
Le 10 avril, le Conseil supérieur de la Prud'homie est officiellement consulté sur les projets de réforme de la carte judiciaire ; nos représentants y seront porteurs des centaines d'avis critiques et des propositions constructives qui les accompagnent.
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« Mobilisation sur les retraites le 16 avril »
« Mobilisation sur les retraites le 16 avril »
Les syndicats CGT, FO, CFTC, CFF-CGC se sont réunis hier sur le thème de la réforme des retraites et se sont trouvé des « convergences » malgré une certaine cacophonie.
Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force ouvrière, lance un appel à la mobilisation.
VENT DEBOUT. Les représentants des quatre grandes centrales, excepté la CFDT, ont décidé de hausser le ton sur l'épineux dossier des retraites, actuellement en négociation plus que serrée avec Xavier Bertrand. Pas d'allongement de la durée de cotisation à 41 ans, exigence sur le relèvement des pensions, « de grandes convergences » seraient apparues, selon les participants, même si chacun semble partir en ordre dispersé.
Force ouvrière a proposé, de son côté, une journée d'action pour le 16 avril tandis que la CFDT, qui fait bande à part, déclare attendre les « annonces » du gouvernement Entretien avec un Jean-Claude Mailly sur le pied de guerre.
Les syndicats CGT, FO, CFTC, CFF-CGC se sont réunis hier sur le thème de la réforme des retraites et se sont trouvé des « convergences » malgré une certaine cacophonie.
Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force ouvrière, lance un appel à la mobilisation.
VENT DEBOUT. Les représentants des quatre grandes centrales, excepté la CFDT, ont décidé de hausser le ton sur l'épineux dossier des retraites, actuellement en négociation plus que serrée avec Xavier Bertrand. Pas d'allongement de la durée de cotisation à 41 ans, exigence sur le relèvement des pensions, « de grandes convergences » seraient apparues, selon les participants, même si chacun semble partir en ordre dispersé.
Force ouvrière a proposé, de son côté, une journée d'action pour le 16 avril tandis que la CFDT, qui fait bande à part, déclare attendre les « annonces » du gouvernement Entretien avec un Jean-Claude Mailly sur le pied de guerre.
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Le stress existe en France, depuis mercredi 12 mars,
QUOTIDIEN : mercredi 2 avril 2008
Le stress existe en France, depuis mercredi 12 mars, midi, à l’heure de la Rolex au poignet du Président.
Personne, avant, ou presque, ne voulait croire à ces suicidés sur les lieux et temps du travail.
Tout au mieux, les directions patronales invoquaient des drames familiaux.
Mais depuis ce mercredi, ces morts ont une histoire.
XB (Xavier Bertrand, ministre du Travail) a rendu publique la nouvelle : le stress au travail existe bel et bien, et il tue. Les journaux télévisés ont immédiatement répercuté et propagé la nouvelle : fallait voir les images, voir les gens courir, d’un poste à l’autre ; fallait entendre comme le stress avait pris la place de la pénibilité physique ! Les gens bossent la peur au ventre. Un fléau national - pas moins, en effet.
Le stress existe en France, depuis mercredi 12 mars, midi, à l’heure de la Rolex au poignet du Président.
Personne, avant, ou presque, ne voulait croire à ces suicidés sur les lieux et temps du travail.
Tout au mieux, les directions patronales invoquaient des drames familiaux.
Mais depuis ce mercredi, ces morts ont une histoire.
XB (Xavier Bertrand, ministre du Travail) a rendu publique la nouvelle : le stress au travail existe bel et bien, et il tue. Les journaux télévisés ont immédiatement répercuté et propagé la nouvelle : fallait voir les images, voir les gens courir, d’un poste à l’autre ; fallait entendre comme le stress avait pris la place de la pénibilité physique ! Les gens bossent la peur au ventre. Un fléau national - pas moins, en effet.
- Spoiler:
- Le jour même, Renault - frappé tout particulièrement - nous livrait sa recette pour combattre le fléau : finies les réunions trop tôt le matin ou trop tard le soir ; interdit d’emporter du travail chez soi ; enfin, obligation de temps de pause entre midi et deux. Merci patron ! Le Président l’a bien compris, et il a pris les devants : son slogan «travailler plus pour gagner plus» risquait de déraper, écarté par ce «travailler plus, c’est stresser plus, c’est escompter une vie plus courte». Alors, on va prendre soin des gens, marchandiser leur souffrance : psychiatres, entrez dans l’entreprise !
Mais c’est le travail lui-même qui est malade, lui qu’il faut soigner, pas les gens, pas seulement. Le «mal travail» imprègne si fort les profondeurs de notre société que la vie même en chancelle. En France, un homme sur deux et une femme sur trois seront bientôt menacés par le cancer, selon l’Institut de veille sanitaire (InVS). Oui, on va naître Français et cancéreux. Si ce n’est pas une prédestination, ça, une guerre faite à l’homme, c’est quoi ? On répondra : ces cancers proviennent du vieillissement de la population, de la montée démographique. Faux ! Ces deux facteurs existent, mais le plus important, c’est le «facteur risque», toujours d’après l’InVS. On doit mettre dans ce terme : l’environnement, la «malbouffe», mais impossible de ne pas prendre en compte le «mal travail». Tout spécialiste assure que, dans sa forme chronique, le stress affaiblit le système immunitaire. Et qui peut nier que les maladies auto-immunes ne cessent de progresser - des chercheurs, en privé, vont jusqu’à parler d’épidémie ? Nous n’avons plus d’immunité. Sur aucun plan. Ni biologique ni politique.
L’automation n’a jamais été aussi envahissante, insidieuse, avec l’informatique capable de traquer le travailleur à la fraction de seconde. Chez Peugeot, aujourd’hui, en France, chez nous, la maîtrise cherche à connaître la date des règles des ouvrières pour anticiper leur temps de passage dans les toilettes, pour ménager la production à flux tendu et distribuer leurs 8 % aux nouveaux actionnaires chinois, russes et américains.
Et que dire de ces intérimaires/précaires qu’on peut jeter à tout moment, à qui on réserve les postes les plus exposés dans l’industrie - notamment nucléaire - et qu’on pousse jusqu’aux limites acceptables de la radioactivité avant d’en appeler d’autres à ces postes ?
Plus de dix millions de personnes sont concernées, à tel point que le ministère du Travail s’est vu contraint, en 2007, face à l’ampleur de la crise, de créer ces nouvelles catégories : les «travailleurs de force» ; les «travailleurs contraints» ; les «obligés du public» ; les «plus exposés». Le grand retour du prolétariat… Mais avait-il jamais disparu ? Moins intelligents, ces travailleurs-là ? Non, seulement moins libres de se cultiver, de penser…
Il faut de toute urgence reconquérir le travail, lui rendre sa valeur centrale d’émancipation, se rappeler qu’il conditionne la relation entre l’individu et la société. La situation est telle qu’il faut en appeler aux droits de l’Homme, à leur entrée dans l’entreprise, quitte à rapatrier d’Irak le droit d’ingérence si cher au bon docteur Kouchner. «Il n’y a aucune difficulté, une fois qu’on a décidé d’agir, à garder intacte sur le plan de l’action, l’espérance même qu’un examen critique a montré être presque sans fondement ; c’est là l’essence même du courage», écrivait, pour sa part, dans Oppression et Liberté, Simone Veil. Il y a eu de graves moments dans l’histoire où les êtres ont activé, contre tout réalisme, cette volonté d’agir. Il le faut à nouveau, si on veut espérer rebâtir l’espérance.
Dernier ouvrage paru : Jean-François Naton, A la reconquête du travail, 2008, Indigène Editions.
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l'opposition et les syndicats dénoncent
Réforme de l'Etat : l'opposition et les syndicats dénoncent l'"austérité" et le manque de concertation
LEMONDE.FR avec AFP | 04.04.08 | 18h22 • Mis à jour le 04.04.08 | 18h31
Le président de la République a présenté, vendredi 4 avril, 166 mesures pour réformer l'Etat et économiser 7 milliards d'euros. Les syndicats et l'opposition ont vivement réagi.
PS. Selon le Parti socialiste, Nicolas Sarkozy "a confirmé la rigueur présente et à venir" dans son discours sur la modernisation des politiques publiques. "Il semble que la fonction publique devienne la principale variable d'ajustement des erreurs de gestion de l'Etat" à travers "une formule aberrante et bornée qui est le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux", dénonce-t-il.
Ainsi dans l'éducation nationale, "l'enjeu de la réussite scolaire est incompatible avec le remplacement d'un fonctionnaire sur deux", selon le PS.
PCF. Selon le Parti communiste, Nicolas Sarkozy se conduit en "père la rigueur".
Selon lui, "ces annonces vont, à coup sûr, aggraver la situation de la très grande majorité des Français, et particulièrement celle des plus fragiles, qui sont les premières victimes de la crise économique et sociale que vit le pays en ce moment".
UNSA-fonctionnaires. La méthode utilisée pour mettre en place la révision générale des politiques publiques (RGPP) "méconnaît les principes du dialogue social", a regretté le syndicat, qui condamne les "mesures brutales qui en découlent".
Selon l'UNSA-Fonctionnaires, la RGPP n'est pas "de nature à répondre de façon satisfaisante au défi que représente l'offre d'un service public de qualité à l'ensemble des citoyens sur la totalité du territoire".
Solidaires. Ces économies vont "aggraver le chômage, en particulier chez les jeunes", car "ne pas remplacer un départ en retraite sur deux dans les administrations, c'est laisser autant de jeunes sans emploi", soutient le syndicat.
Pour Solidaires, ces nouvelles "mesures de rigueur" sont à mettre "en parallèle avec les cadeaux fiscaux contenus dans le "paquet fiscal" (15 milliards d'euros) et en relation avec les exonérations de cotisations sociales consenties aux entreprises (plus de 20 milliards d'euros)
". "Il n'y a pas d'argent pour certaines dépenses sociales et collectives, mais il y en a toujours pour réduire les contributions des plus riches", s'étonne le syndicat.
CFTC. Le syndicat a déploré que la RGPP "se soit organisée sans l'ombre d'un débat", et aboutisse à "des coupes drastiques injustifiées".
La CFTC "récuse une vision purement comptable des services publics qui risque de conduire à des coupes massives dans les effectifs de la fonction publique au détriment de la qualité du service public rendu et des conditions de travail".
FO. La RGPP "continue d'avancer masquée", estime Force ouvrière.
Sur un tel dossier, "qui concerne fondamentalement un choix de société, il est anormal que le débat n'ait pas lieu".
Pour FO, "la RGPP est une remise en cause profonde des services publics républicains au travers d'externalisations et de privatisations qui, non seulement feront disparaître les services publics, mais finiront par coûter plus cher, non plus aux usagers, mais aux clients".
CGT. Selon la CGT, le gouvernement impose une "politique d'austérité" et une "régression des politiques publiques
". "C'est finalement une approche technocratique par le mauvais bout : on commence par les économies, on discutera peut-être ensuite des missions publiques", a déclaré le syndicat.
LEMONDE.FR avec AFP | 04.04.08 | 18h22 • Mis à jour le 04.04.08 | 18h31
Le président de la République a présenté, vendredi 4 avril, 166 mesures pour réformer l'Etat et économiser 7 milliards d'euros. Les syndicats et l'opposition ont vivement réagi.
PS. Selon le Parti socialiste, Nicolas Sarkozy "a confirmé la rigueur présente et à venir" dans son discours sur la modernisation des politiques publiques. "Il semble que la fonction publique devienne la principale variable d'ajustement des erreurs de gestion de l'Etat" à travers "une formule aberrante et bornée qui est le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux", dénonce-t-il.
Ainsi dans l'éducation nationale, "l'enjeu de la réussite scolaire est incompatible avec le remplacement d'un fonctionnaire sur deux", selon le PS.
PCF. Selon le Parti communiste, Nicolas Sarkozy se conduit en "père la rigueur".
Selon lui, "ces annonces vont, à coup sûr, aggraver la situation de la très grande majorité des Français, et particulièrement celle des plus fragiles, qui sont les premières victimes de la crise économique et sociale que vit le pays en ce moment".
UNSA-fonctionnaires. La méthode utilisée pour mettre en place la révision générale des politiques publiques (RGPP) "méconnaît les principes du dialogue social", a regretté le syndicat, qui condamne les "mesures brutales qui en découlent".
Selon l'UNSA-Fonctionnaires, la RGPP n'est pas "de nature à répondre de façon satisfaisante au défi que représente l'offre d'un service public de qualité à l'ensemble des citoyens sur la totalité du territoire".
Solidaires. Ces économies vont "aggraver le chômage, en particulier chez les jeunes", car "ne pas remplacer un départ en retraite sur deux dans les administrations, c'est laisser autant de jeunes sans emploi", soutient le syndicat.
Pour Solidaires, ces nouvelles "mesures de rigueur" sont à mettre "en parallèle avec les cadeaux fiscaux contenus dans le "paquet fiscal" (15 milliards d'euros) et en relation avec les exonérations de cotisations sociales consenties aux entreprises (plus de 20 milliards d'euros)
". "Il n'y a pas d'argent pour certaines dépenses sociales et collectives, mais il y en a toujours pour réduire les contributions des plus riches", s'étonne le syndicat.
CFTC. Le syndicat a déploré que la RGPP "se soit organisée sans l'ombre d'un débat", et aboutisse à "des coupes drastiques injustifiées".
La CFTC "récuse une vision purement comptable des services publics qui risque de conduire à des coupes massives dans les effectifs de la fonction publique au détriment de la qualité du service public rendu et des conditions de travail".
FO. La RGPP "continue d'avancer masquée", estime Force ouvrière.
Sur un tel dossier, "qui concerne fondamentalement un choix de société, il est anormal que le débat n'ait pas lieu".
Pour FO, "la RGPP est une remise en cause profonde des services publics républicains au travers d'externalisations et de privatisations qui, non seulement feront disparaître les services publics, mais finiront par coûter plus cher, non plus aux usagers, mais aux clients".
CGT. Selon la CGT, le gouvernement impose une "politique d'austérité" et une "régression des politiques publiques
". "C'est finalement une approche technocratique par le mauvais bout : on commence par les économies, on discutera peut-être ensuite des missions publiques", a déclaré le syndicat.
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Re: les crans à serrer
Selon une étude réalisée par le cabinet ECA International, les salariés indiens ont vu leurs salaires augmenter de 14% en 2007 et peuvent envisager une hausse identique en 2008.
Les Argentins arrivent en deuxième position avec une hausse de 12,7%, suivis par les Indonésiens avec une hausse de salaires de 11,3% et les Russes de 11%.
ECA International explique ces hausses de salaires par «la croissance économique très rapide des pays concernés, mais également par l’amplification de la pénurie des talents», ces six dernières années, les salaires en Inde ont presque doublé alors qu’en Europe de l’Est ils ont augmenté en moyenne de 20%.
En 1990, rappelle le cabinet d’étude, les salaires en Inde étaient parmi les plus bas du monde.
Les Argentins arrivent en deuxième position avec une hausse de 12,7%, suivis par les Indonésiens avec une hausse de salaires de 11,3% et les Russes de 11%.
ECA International explique ces hausses de salaires par «la croissance économique très rapide des pays concernés, mais également par l’amplification de la pénurie des talents», ces six dernières années, les salaires en Inde ont presque doublé alors qu’en Europe de l’Est ils ont augmenté en moyenne de 20%.
En 1990, rappelle le cabinet d’étude, les salaires en Inde étaient parmi les plus bas du monde.
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