Pougues les eaux

Les premiers licenciements sont prononcés à Pougues les eaux .
Est mis en avant la délégation public , pour justifier le licenciement

Nous ne sommes plus au XIXéme siècle avec des patrons de droit divin. Le droit de grève existe, et le Groupe Tranchant n'est pas au-dessus des lois. Il n'est pas question de faire un précédent. Des grèves, il y en a déjà eu des dizaines dans tous les casinos de France, et cela a abouti à des négociations,jamais à des licenciements ».

J'espère de tout cœur que les syndicats ont déjà porté l'affaire devant les Prud'hommes, et que le ministre de l'Intérieur révoque ces directeurs pour motif de troubles à l'ordre public conformément à l'article 12-V alinea 4 du réglement des Jeux", comme le suggère David Rousset.

Eh oui camarades, il semble que chez Partouche, la grève leur a fait "péter les plombs"!
Mais, chez Tranchant, elle les a fait 'disjoncter "complétement !
Si l'info de licenciement se confirme, CA VA LEUR COUTER UN MAX à ces cons !
Non seulement le licenciement sera reconnu comme nul et non avenu, mais en plus, ils seront contrains de réintégrer les salariés ( avec paiement du salaire) et dommages et intérêts à la clé. Sans compter que ces cons, s'exposent réellement à des sanctions pénales !
Franchement ? Je crois que certains patrons "panique" !
Je dois avouer que chez nous (Casino de Trouville) ACCOR/BARRIERE Ils ne sont certes pas facile, en revanche, ils ont oubliés d'être C.. et connaissent les limites.
Comme quoi, certains "tauliers" n'ont pas la lumière à tout les étages...
Que les camarades "éventuellement" licenciés se rassurent : Vous allez gagner plus d'argent que si vous aviez travaillés ! (Avec un peu de stress en plus)
Mais quelle jouissance lorsque dans une semaine (voir moins) vous serez réintégrés, avec de l'argent plein les fouilles (versé par ceux-là même qui ont voulu vous virer !)

Allez, nous sommes toutes et tous avec vous.
Ciao & A +. Roberto

Il serait affligeant et hautement catastrophique pour le syndicalisme si dans de telles scandaleuses circonstances les DS locaux de l'intersyndicale s'avéraient incapables de répondre solidairement et massivement à un mot d'ordre de gréve nationale fût il symbolique, pour défendre les collègues licenciés. Notre riposte doit être immédiate, massive et médiatisée faute de quoi les grands vainqueurs seront les employeurs aux comportements de gangsters hors la loi, et cela quelque soit l'issue juridique du conflit.