La prime transport au coeur de l’actualité économique
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La prime transport au coeur de l’actualité économique
La prime transport au coeur de l’actualité économique et sociale.
Ce que nous demandons:
- l’extension à tout le territoire et à tous les salariés du mécanisme initié en Île-de-France: prise en charge par l’employeur de 50% du coût du transport collectif;
- dans tous les cas où le transport collectif est inexistant ou mal adapté (durée du transport par exemple), les salariés utilisant leur véhicule doivent avoir une prime dont le montant annuel minimal doit être de 360 euros. (allant de 360 à 600 euros annuels selon la distance domicile -travail.
Il appartient maintenant au gouvernement et au Parlement de décider, une disposition législative étant nécessaire.
Pour FO, cette prime ne doit pas être facultative mais obligatoire, pour une question d’efficacité et d’égalité de droit, et le montant annuel de 200 euros est bien entendu trop faible.
Le caractère obligatoire de la prime constituerait par ailleurs la première
mesure de pouvoir d’achat qui concernerait tout le monde.
Qu’on ne nous dise pas que ce serait insupportable pour les entreprises.
Re: La prime transport au coeur de l’actualité économique
Cher Hervé, carrément insupportable !
En effet, après avoir troqué, suivant les conseils de sa copine de Bercy, sa Maserati 3200 GT par une bicyclette. Après avoir renoncé à arriver à la party annuelle du Medef en parachute ( probablement pour cause de risque d'amalgame avec les modèles dorés de ses amis ). Ne voila-t-il pas que très agacée, L. Parisot va jusqu'à accuser le gouvernement et les "élites" ( ) - d'idéologie quasi soviétique -. Reprenant également à son compte un mot cher à son prédécesseur - aberration -.
Franchement insupportable
Mais au fait, qui Quoi
Salut amical à tous et en particulier à la Normandie.
En effet, après avoir troqué, suivant les conseils de sa copine de Bercy, sa Maserati 3200 GT par une bicyclette. Après avoir renoncé à arriver à la party annuelle du Medef en parachute ( probablement pour cause de risque d'amalgame avec les modèles dorés de ses amis ). Ne voila-t-il pas que très agacée, L. Parisot va jusqu'à accuser le gouvernement et les "élites" ( ) - d'idéologie quasi soviétique -. Reprenant également à son compte un mot cher à son prédécesseur - aberration -.
Franchement insupportable
Mais au fait, qui Quoi
Salut amical à tous et en particulier à la Normandie.
ajr- Langue pendue
- Nombre de messages : 711
Date d'inscription : 18/02/2005
Re: La prime transport au coeur de l’actualité économique
Idéologie pour idéologie.
Les laudatrices et laudateurs de l'idéologie libérale anglo-américaine, en ces temps de nombreuses "nationalisations" consécutives à l'exercice et l'application quasi fondamentaliste de ses principes, bafouant certaines régles et n'ayant même pas le courage (japonais ?) d'en assumer les conséquences, devraient modifier leur projet actuel.
Leur objectif : ils ont fait de graves erreurs, mais ils nous les feront payer !
Les laudatrices et laudateurs de l'idéologie libérale anglo-américaine, en ces temps de nombreuses "nationalisations" consécutives à l'exercice et l'application quasi fondamentaliste de ses principes, bafouant certaines régles et n'ayant même pas le courage (japonais ?) d'en assumer les conséquences, devraient modifier leur projet actuel.
Leur objectif : ils ont fait de graves erreurs, mais ils nous les feront payer !
ajr- Langue pendue
- Nombre de messages : 711
Date d'inscription : 18/02/2005
Transports :
Transports :
Le coût de l’utilisation d’un véhicule personnel a progressé de 9,8% entre 2007 et 2008 et de 2,7% pour les transports en commun. Est-ce que cela correspond au taux d’augmentation de votre salaire cette année ? Non, bien sûr !
Le salarié peut-il choisir, comme le préconise la Présidente du Medef, entre dépenser son argent en essence ou en logement.
Si c’était si simple, chacun aurait déjà tranché.
La réponse est-elle dans le système D avec la suggestion de Madame LAGARDE : il suffit de prendre son vélo au lieu de sa voiture et le tour est joué !!!
Le coût de l’utilisation d’un véhicule personnel a progressé de 9,8% entre 2007 et 2008 et de 2,7% pour les transports en commun. Est-ce que cela correspond au taux d’augmentation de votre salaire cette année ? Non, bien sûr !
Le salarié peut-il choisir, comme le préconise la Présidente du Medef, entre dépenser son argent en essence ou en logement.
Si c’était si simple, chacun aurait déjà tranché.
La réponse est-elle dans le système D avec la suggestion de Madame LAGARDE : il suffit de prendre son vélo au lieu de sa voiture et le tour est joué !!!
edito- Rang: Administrateur
- Nombre de messages : 734
Age : 54
Date d'inscription : 05/01/2005
FO écrit à tous les parlementaires
Monsieur le Député,
Monsieur le Sénateur,
Depuis 2005, Force Ouvrière réclame la mise en place d’une prime transport destinée à compenser pour les salariés l’augmentation du coût du transport.
Après l’échec du chèque transport, vous allez examiner, dans le cadre du PLFSS, la mise en place d’une contribution transport.
Celle-ci comporte deux volets : transport collectif et transport individuel.
Sur le transport collectif : l’extension à l’ensemble du territoire du système obligatoire en vigueur en Ile-de-France depuis 25 ans correspond à notre demande, à savoir la prise en charge par l’employeur de la moitié de ce coût.
Sur le transport individuel : le projet gouvernemental n’est pas acceptable pour deux raisons : son caractère facultatif et son montant.
Prévoir un caractère facultatif et renvoyer l’éventuelle mise en place à un accord avec l’employeur présente deux défauts majeurs :
Beaucoup de salariés n’y auront pas droit, ce qui introduit une inégalité entre eux.
Risque de confusion avec les négociations de salaire même si cette prime ou contribution n’est pas juridiquement un élément de salaire.
C’est pourquoi Force Ouvrière demande un dispositif obligatoire, en particulier dans trois cas : inexistence de transport collectif, horaires décalés, caractère non pratique du transport collectif (durée, par exemple).
Nous ajoutons que cela constituerait une mesure générale en faveur du pouvoir d’achat, même si elle est modeste.
Par ailleurs, un montant maximum annuel de 200 euros est trop faible, nous demandons que soit fixé un plancher de 360 euros minimum (avec possibilité de négocier plus, notamment par tranches kilométriques), soit 30 euros par mois. Ces 30 euros sont nets pour l’entreprise, ce qui en relativise fortement le coût (ex. pour neuf salariés, 270 euros par mois).
Nous souhaiterions, Monsieur le Député, Monsieur le Sénateur, savoir si vous seriez prêts à soutenir ces propositions, ce que nous pourrions faire savoir.
En l’attente de votre réponse, nous vous prions, Monsieur le Député, Monsieur le Sénateur, de bien vouloir agréer l’expression de notre considération distinguée.
Monsieur le Sénateur,
Depuis 2005, Force Ouvrière réclame la mise en place d’une prime transport destinée à compenser pour les salariés l’augmentation du coût du transport.
Après l’échec du chèque transport, vous allez examiner, dans le cadre du PLFSS, la mise en place d’une contribution transport.
Celle-ci comporte deux volets : transport collectif et transport individuel.
Sur le transport collectif : l’extension à l’ensemble du territoire du système obligatoire en vigueur en Ile-de-France depuis 25 ans correspond à notre demande, à savoir la prise en charge par l’employeur de la moitié de ce coût.
Sur le transport individuel : le projet gouvernemental n’est pas acceptable pour deux raisons : son caractère facultatif et son montant.
Prévoir un caractère facultatif et renvoyer l’éventuelle mise en place à un accord avec l’employeur présente deux défauts majeurs :
Beaucoup de salariés n’y auront pas droit, ce qui introduit une inégalité entre eux.
Risque de confusion avec les négociations de salaire même si cette prime ou contribution n’est pas juridiquement un élément de salaire.
C’est pourquoi Force Ouvrière demande un dispositif obligatoire, en particulier dans trois cas : inexistence de transport collectif, horaires décalés, caractère non pratique du transport collectif (durée, par exemple).
Nous ajoutons que cela constituerait une mesure générale en faveur du pouvoir d’achat, même si elle est modeste.
Par ailleurs, un montant maximum annuel de 200 euros est trop faible, nous demandons que soit fixé un plancher de 360 euros minimum (avec possibilité de négocier plus, notamment par tranches kilométriques), soit 30 euros par mois. Ces 30 euros sont nets pour l’entreprise, ce qui en relativise fortement le coût (ex. pour neuf salariés, 270 euros par mois).
Nous souhaiterions, Monsieur le Député, Monsieur le Sénateur, savoir si vous seriez prêts à soutenir ces propositions, ce que nous pourrions faire savoir.
En l’attente de votre réponse, nous vous prions, Monsieur le Député, Monsieur le Sénateur, de bien vouloir agréer l’expression de notre considération distinguée.
edito- Rang: Administrateur
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Age : 54
Date d'inscription : 05/01/2005
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